"Plus qu’un cri, un hurlement: celui d’une génération entière face à son échec global et cuisant. A travers de grands thèmes tels que l’éducation, le monde du travail ou l’engagement politique, Jiminy Panoz dresse le portrait de la génération Why: une génération qui aura connu Tchernobyl, les crises boursières, le chômage massif et le Sida. Un véritable appel à la prise de conscience, et à la révolte. « Génération Enragée » sera peut-être le « Indignez-vous » de la génération 80-90."
Jiminy Tanoz - Génération Enragée gratuit.
lundi 29 août 2011
dimanche 28 août 2011
fnacbook: autonomie de la batterie
A partir d'une batterie pleine, la série Harry Potter (approximativement 3580 pages), lu sur une période de 10 jours, pas de 3G, pas de wifi. J'ai du recharger la batterie une fois, et a la fin du dernier tome, l'indicateur était vide.
donc approximativement: deux cycles complets de charge = 3580 pages.
donc approximativement: deux cycles complets de charge = 3580 pages.
jeudi 25 août 2011
Calibre
http://calibre-ebook.com/
Calibre est un logiciel de gestion de bibliothèque.
il peut gérer vos comics, vos journaux, magasines etc.
La puissance de ce logiciel est sa gestion des livres numériques.
Lorsque j'ai acheté ma première liseuse, j'ai vite compris qu'il allait me falloir une organisation poussée pour gérer mes livres numériques, réfléchir à comment les nommer, où et comment les ranger etc etc.
Je délègue toutes ces tâches à Calibre. Je lui ai simplement indiqué dans quel repertoire je voulais que soient stockés mes livres numériques sur mon ordinateur, et c'est tout.
Ensuite lorsque je télécharge un nouveau livre numérique, qui se trouve dans le répertoire de download de mon ordinateur. J'ouvre calibre, et fait un cliqué-glisser du fichier vers la fenêtre de calibre. Il fait tout tout seul. vraiment tout. je peaufine les étiquettes que je donne au livre (science fiction, fantasy, etc) mais c'est vraiment parce que je suis pointilleux.
Ensuite je branche ma liseuse, et je dit à calibre quel livre j'ai envie de copier dessus pour une lecture immédiate ou ultérieure.
calibre montre toute sa puissance dans la gestion des livre numérique ebook, mais peut parfaitement convenir à la gestion d'une bibliothèque traditionnelle (via les isbn).
vivement recommandé.
mercredi 24 août 2011
recommandation de blog
Le monde de l'édition numérique a plusieurs aspects. L'objet qui permet d'y acceder: la liseuses, le contenu les livres, etc etc
Mais il est un aspect qui n'est pas visible à l'oeil nu. La qualité du code de la mise en page.
Je ne parle pas de la mise en page elle même, cela est visible, mais de la manière dont cette mise en page est effectuée, de la manière dont cette mise en page est interprêtée par la liseuse que vous utilisez.
Il a plusieurs moyen de dire à votre liseuse d'afficher le titre du chapitre au centre de la page. Certaine manière sont élégante, respectent les standards du monde de l'édition numérique, certaines autre manières de faire sont tout désuettes, ou propriétaire à certaine liseuses.
A titre d'exemple, nous n'appréciriez pas que la mise en page de votre roman préférée fasse de celui-ci un livre de poche deux fois plus lourd qu'il ne pourait l'être..
L'auteur du blog "lecteur en colère", décortique pour nous le code derrière les ePub, et nous explique ce qui fait la différence entre une belle édition numérique et une mauvaise édition ;comme il y a dans le monde papier de belles éditions d'un certain roman, et des éditions de piètre qualité.
Excellent blog de vulgarisation sur l'édition numérique.
La vulgarisation est parfaite. bravo et surtout
M E R C I
http://lecteursencolere.com/
Mais il est un aspect qui n'est pas visible à l'oeil nu. La qualité du code de la mise en page.
Je ne parle pas de la mise en page elle même, cela est visible, mais de la manière dont cette mise en page est effectuée, de la manière dont cette mise en page est interprêtée par la liseuse que vous utilisez.
Il a plusieurs moyen de dire à votre liseuse d'afficher le titre du chapitre au centre de la page. Certaine manière sont élégante, respectent les standards du monde de l'édition numérique, certaines autre manières de faire sont tout désuettes, ou propriétaire à certaine liseuses.
A titre d'exemple, nous n'appréciriez pas que la mise en page de votre roman préférée fasse de celui-ci un livre de poche deux fois plus lourd qu'il ne pourait l'être..
L'auteur du blog "lecteur en colère", décortique pour nous le code derrière les ePub, et nous explique ce qui fait la différence entre une belle édition numérique et une mauvaise édition ;comme il y a dans le monde papier de belles éditions d'un certain roman, et des éditions de piètre qualité.
Excellent blog de vulgarisation sur l'édition numérique.
La vulgarisation est parfaite. bravo et surtout
M E R C I
http://lecteursencolere.com/
lundi 22 août 2011
lecture sur une liseuse, verdict
Alors, j'ai finalement fait le pas, je me suis acheté une liseuse et ai lu plusieurs livres à l'aide de cet appareil.
Amoureux du livre, du rapport tactile qu'il y a dans le "tourner la page", fondateur du club de prévention pour les ticket de metro marque page, j'ai fait le pas en me disant que ce que je perdrai du point de vu tactile je le trouverais ailleurs.
verdict.
Le confort de lecture est similaire, mais différent.
Visuellement:
Mes yeux fatiguent ni plus vite ni moins vite, j'ai besoin d'autant de lumière que sur un livre papier. La possibilité de régler la taille des caractères est appréciable.
J'ai fait plusieurs tests en ce qui concerne l'éclairage, j'ai testé mes emplacements habituels de lecture (le parc, le balcon, mon zaisu, mon plumard, la terrasse de café, etc..) Une liseuse a les même impératifs d'éclairage qu'un livre traditionnel. Et comme un livre traditionnel, la couleur de l'éclairage influe sur le confort de lecture. Personnellement le blanc cru des néons me semble le plus aisé à lire sur l'écran du fnacbook (idéal dans le métro, donc) ; les ampoules classiques à incandescence donnent un look « vieux papier jauni » au fnacbook bien sympa ; et les lampes à économie d'énergie donnent le look le plus proche du papier classique.
La tenue en main:
Les première séances de lecture me faisaient mal au poignet. Ce n'est plus le cas maintenant.
Cela est surtout dû au fait que une liseuse ne se tient pas de la même manière qu'un livre papier. On ne peut par exemple mettre les doigts sur le texte (puisque l'écran tactile réagit – j'aimerais d’ailleurs pouvoir le désactiver). Autre aspect de la tenue en main, il me semble plus confortable d'avoir l’écran bien perpendiculaire au regard, ce qui est moins nécessaire pour du papier.
C'est la douleur dans le poignet qui m'a fait prendre conscience que je devais apprendre à tenir correctement ma liseuse. J'ai donc appris, j'ai cherché comment tenir le fnacbook de telle sorte que la lecture soit agréable, et la tension sur les doigts et le poignet minimale. Je ne saurais décrire le fruit de cette recherche, mais je peux dire ceci : la tenue est vraiment différente de celle d'un livre papier.
Une fois ces nouvelles habitudes et position de main/poignet acquises (ça vient vite) je n'y fais plus attention, j'attrape mon fnacbook, je tourne la page et je lis, aussi aisément qu'avec un livre papier.
J'ai mis du grip de raquette de tennis partout où je pouvais sur mon fnacbook. c'est vraiment moche à voir (je l'ai fait à la va-vite pour mettre l'idée à l'épreuve, et j'ai l'intention de le refaire proprement). Avec ça le fnacbook ne glisse plus entre mes doigts, et est plus facile à tenir.
Le grip aide *énormément* ; beaucoup plus que je le pensai. C'est vraiment une très bonne idée. Il me reste à trouver un grip très fin et de couleur blanche. Peut-être dans le monde du ping-pong je trouveras mon bonheur.
Le fnacbook est au niveau du ressenti très lourd. J’entends par là que bien qu'il pèse 240g, il semble qu'il soit plus lourd que cela. Probablement parce que la tenue en main est différente d'un livre papier.
Tourner la page
Le rapport tactile au livre papier vient surtout de là, lorsque j'approche de la fin d'une page, mon doigts est déjà glissé dans la page suivante, et selon le rythme du texte, je tourne la page sobrement, ou en retenant ma respiration ^_^
Il m'arrive parfois arrivé à la fin d'un paragraphe de le relire pou apprécier le verbe ou la tournure employée et dans ce cas là tourner la page en arrière est aussi un rapport tactile au livre qui est agréable.
Ce rapport au papier disparaît.
C'est absolument indéniable.
Je lis approximativement à la vitesse d'une page par minute. Et indéniablement je n'aime pas l'action "tourner la page" sur une liseuse. (le fait de faire un tap ou un swipe sur l'écran, et n'avoir la confirmation que la page a été tournée que quelques instants plus tard m'est frustrant); je pense _à vérifier_ que un bouton physique pour "tourner la page" serait plus à mon goût.
Donc le rapport physique à « tourner la page » disparaît. Mais ça ne manque pas. Il est absent de l'expérience de la lecture, mais le texte reste inchangé, les émotions que vous ressentez sont les mêmes, les informations que vous apprenez restent les mêmes...
Au fils des discutions (online et offline) j'ai vu des arguments de comparaison comme par exemple, le passage du vinyl au CD. Faire cet amalgame est tout simplement faire erreur. En matière de musique, le passage du support analogique au support numérique impliquait une perte, certes peut audible, mais une perte tout de même.
Le passage du papier traditionnel à l'encre numérique ne perd rien de la substance d'un texte.
Les dialogues sont les mêmes, les virgules sont au mêmes endroits, votre ressenti cognitif au texte est *identique*.
Dans le cas des illustrations, celles en couleurs deviennent noir et blanc (niveau de gris). Il y a là un perte, oui. Une liseuse n'est pas faite pour lire une bande dessinée (pas encore). Si votre roman comporte quelques illustrations, l'apport au texte reste identique, même si en noir et blanc.
Donc je récapitule :
Lire un livre sur une liseuse, est du point de vue ergologique/ergonomique totalement différent de lire un livre papier. Mais du point de vue cognitif, du point de vu du ressenti, de l'expérience, c'est absolument identique.
Amoureux du livre, du rapport tactile qu'il y a dans le "tourner la page", fondateur du club de prévention pour les ticket de metro marque page, j'ai fait le pas en me disant que ce que je perdrai du point de vu tactile je le trouverais ailleurs.
verdict.
Le confort de lecture est similaire, mais différent.
Visuellement:
Mes yeux fatiguent ni plus vite ni moins vite, j'ai besoin d'autant de lumière que sur un livre papier. La possibilité de régler la taille des caractères est appréciable.
J'ai fait plusieurs tests en ce qui concerne l'éclairage, j'ai testé mes emplacements habituels de lecture (le parc, le balcon, mon zaisu, mon plumard, la terrasse de café, etc..) Une liseuse a les même impératifs d'éclairage qu'un livre traditionnel. Et comme un livre traditionnel, la couleur de l'éclairage influe sur le confort de lecture. Personnellement le blanc cru des néons me semble le plus aisé à lire sur l'écran du fnacbook (idéal dans le métro, donc) ; les ampoules classiques à incandescence donnent un look « vieux papier jauni » au fnacbook bien sympa ; et les lampes à économie d'énergie donnent le look le plus proche du papier classique.
La tenue en main:
Les première séances de lecture me faisaient mal au poignet. Ce n'est plus le cas maintenant.
Cela est surtout dû au fait que une liseuse ne se tient pas de la même manière qu'un livre papier. On ne peut par exemple mettre les doigts sur le texte (puisque l'écran tactile réagit – j'aimerais d’ailleurs pouvoir le désactiver). Autre aspect de la tenue en main, il me semble plus confortable d'avoir l’écran bien perpendiculaire au regard, ce qui est moins nécessaire pour du papier.
C'est la douleur dans le poignet qui m'a fait prendre conscience que je devais apprendre à tenir correctement ma liseuse. J'ai donc appris, j'ai cherché comment tenir le fnacbook de telle sorte que la lecture soit agréable, et la tension sur les doigts et le poignet minimale. Je ne saurais décrire le fruit de cette recherche, mais je peux dire ceci : la tenue est vraiment différente de celle d'un livre papier.
Une fois ces nouvelles habitudes et position de main/poignet acquises (ça vient vite) je n'y fais plus attention, j'attrape mon fnacbook, je tourne la page et je lis, aussi aisément qu'avec un livre papier.
J'ai mis du grip de raquette de tennis partout où je pouvais sur mon fnacbook. c'est vraiment moche à voir (je l'ai fait à la va-vite pour mettre l'idée à l'épreuve, et j'ai l'intention de le refaire proprement). Avec ça le fnacbook ne glisse plus entre mes doigts, et est plus facile à tenir.
Le grip aide *énormément* ; beaucoup plus que je le pensai. C'est vraiment une très bonne idée. Il me reste à trouver un grip très fin et de couleur blanche. Peut-être dans le monde du ping-pong je trouveras mon bonheur.
Le fnacbook est au niveau du ressenti très lourd. J’entends par là que bien qu'il pèse 240g, il semble qu'il soit plus lourd que cela. Probablement parce que la tenue en main est différente d'un livre papier.
Tourner la page
Le rapport tactile au livre papier vient surtout de là, lorsque j'approche de la fin d'une page, mon doigts est déjà glissé dans la page suivante, et selon le rythme du texte, je tourne la page sobrement, ou en retenant ma respiration ^_^
Il m'arrive parfois arrivé à la fin d'un paragraphe de le relire pou apprécier le verbe ou la tournure employée et dans ce cas là tourner la page en arrière est aussi un rapport tactile au livre qui est agréable.
Ce rapport au papier disparaît.
C'est absolument indéniable.
Je lis approximativement à la vitesse d'une page par minute. Et indéniablement je n'aime pas l'action "tourner la page" sur une liseuse. (le fait de faire un tap ou un swipe sur l'écran, et n'avoir la confirmation que la page a été tournée que quelques instants plus tard m'est frustrant); je pense _à vérifier_ que un bouton physique pour "tourner la page" serait plus à mon goût.
Donc le rapport physique à « tourner la page » disparaît. Mais ça ne manque pas. Il est absent de l'expérience de la lecture, mais le texte reste inchangé, les émotions que vous ressentez sont les mêmes, les informations que vous apprenez restent les mêmes...
Au fils des discutions (online et offline) j'ai vu des arguments de comparaison comme par exemple, le passage du vinyl au CD. Faire cet amalgame est tout simplement faire erreur. En matière de musique, le passage du support analogique au support numérique impliquait une perte, certes peut audible, mais une perte tout de même.
Le passage du papier traditionnel à l'encre numérique ne perd rien de la substance d'un texte.
Les dialogues sont les mêmes, les virgules sont au mêmes endroits, votre ressenti cognitif au texte est *identique*.
Dans le cas des illustrations, celles en couleurs deviennent noir et blanc (niveau de gris). Il y a là un perte, oui. Une liseuse n'est pas faite pour lire une bande dessinée (pas encore). Si votre roman comporte quelques illustrations, l'apport au texte reste identique, même si en noir et blanc.
Donc je récapitule :
Lire un livre sur une liseuse, est du point de vue ergologique/ergonomique totalement différent de lire un livre papier. Mais du point de vue cognitif, du point de vu du ressenti, de l'expérience, c'est absolument identique.
samedi 20 août 2011
Choisir une liseuse
Lorsque l'on a un achat à faire, se renseigner sur les divers produits qui répondent aux besoins définis est la bonne manière de faire.
Mais la première étape est de définir ces besoins, puis les critères qui y sont rattachés.
BESOINS :
Vous voulez pouvoir lire, dans certaines conditions (transports en commun, dans le salon).
Voila. C'est ça votre besoin. Et pas autre choses, malgré ce que nous matraque les constructeurs/vendeurs.
La connectivité (wifi, mais surtout 3G) n'est utile QUE DANS UN SEUL CAS : si vous vous abonnez à des revues journalières/hebdomadaires, et voulez les avoir sur votre liseuse dès que possible.
J'insiste sur cet aspect du mensonge marketo-foutaiso-commercial dont nous bassine les constructeurs et même la plus part des tests que j'ai pu lire (tous, en fait).
Si votre usage est d'avoir à porté de main le monde ou le figaro des que le nouveau numéro est disponible, alors, oui, une connectivité (wifi au minimum, 3G au mieux) est nécessaire (et vous devez par ailleur vérifier que le fournisseur de contenu propose les abonnements en question).
Si cette disponibilité serait un plus, mais n'est pas votre principal besoin, alors le critère « connectivité » se retrouve de facto en bas de la liste. (au grand dam des constructeurs qui veulent vous enfermer chez leurs fournisseurs de services).
Si vous lisez ce blog, alors vous avez une platforme dont vous vous servez pour acceder à internet (linux, mac osx, ou au pire windows).
C'est tout ce dont vous avez besoin pour acheter des livres electroniques et les copier sur votre liseuse (il suffit juste de connaître les formats reconnus par votre liseuse, adobe est un de ces multiples formatsANGLAIS)
Assurez-vous que la liseuse que vous choisissez reconnaît le format de livre electronique protégés contre la copie du fournisseur auquel vous choisissez de faire confiance (fnac, amazon, ou autre).
(je ne lancerais pas ici le débat sur les DRM, je suis contre, strictement contre)
bien nous avons donc défini les besoins : « pouvoir lire dans les conditions ou vous lisez habituellement » passons maintenant aux critères
CRITERES:
Un livre papier a comme critère: je serais presque tenté de dire aucun hormis le texte en lui-même!
Mais son volume, sont poids, la taille des caractères, la qualité du papier viennent à l'esprit.
Les premiers critères sont d'ordre physiques, tandis que les seconds sont d'ordre ergonomique.
Essayer de transposer ces critères au monde des liseuses est à la fois pertinent et hautement ridicule.
pertinent : le poids. Voir plus loin en quoi cela est pertinent
ridicule : la taille des caractères. Cette taille est réglable, donc le critère est annihilé par la technologie.
pertinent : la qualité du papier. En terme de liseuse cela devient la technologie utilisée pour l'affichage. Il y a plusieurs technologies « d'encre numérique » dans l'ordre croissant du confort de lecture : Sipix, e-Ink, e-Ink pearl. Les deux premiers sont approximativement comparables, tandis que le pearl est capable d'un affichage bien plus contrasté, donc bien plus confortable à l’œil.
critères physiques:
Le look de votre liseuse importe peu, il est vrai que certains constructeurs proposent un choix de couleurs plus ou moins large, mais cela n'est que fumée. Que votre liseuse soit jolie ou non est d'une importance vraiment moindre par rapport au confort de lecture. En effet vous ne regarderez *jamais* votre liseuse : vous l'utiliserez pour lire. (vous n'avez que faire de la couverture du livre que vous lisez)
Les critères important pour le choix sont, à mon avis:
TAILLE/FORME
Indépendamment de la taille de l'écran (plus grand n'est pas forcément mieux) la forme générale de l'objet et sa taille sont en fait à considérer selon un critère extrêmement précis: la tenu en main pendant que vous lisez.
Les liseuses dont le cadre est très fin (cad dont l'écran est très proche du bord de l'appareil) offrent une prise en main moindre comparer à ceux ou le cadre est assez grand pour que vous puissiez "pincer" la liseuse à l'aide de votre pouce contre les 4 autres doigts.
Autre aspect de la forme: si la liseuse n'offre aucune prises de par sa forme ou son revêtement (le pire étant, comme le fnacbook, bords bien arrondis, et matière extrêmement lisse) alors cela diminue encore l'ergonomie.
A croire que les concepteurs prennent en compte les énormes marges qu'il est possible de gagner sur les diverses coques et housses optionnelles.
Toujours est-il, debout dans les transports en communs, vous ne voulez pas risquer qu'elle vous échappe des doigts à chaque arrêt, donc considérez cela lorsque vous prenez l'objet en main pour l'essayer. Ne vous imaginez pas seulement chez vous confortablement affalé(e) dans un fauteuil ^_^
Malheureusement, aller dans un magasin et "goûter" à une liseuse au stand qui leurs est dédié n'est pas d'une grande aide: en effet, il vous faudrait lire plusieurs pages d'un eBook pour prendre la pleine mesure de la taille/forme de la liseuse par rapport à votre main, par rapport à la longueur/finesse de vos doigts.
POIDS
Connaissez-vous le syndrome Harry Potter? Il s'agit de troubles qui apparaissent suite à la lecture d'un livre trop lourd pour le poignet et les muscles qui le meuvent.
Une liseuse est plus ou moins lourde, plus que certain livre, moins que d'autre. Mais contrairement à un livre, la prise que vous avez sur une liseuse est bien différente de celle d'un livre papier (voir paragraphe précédent). Aussi, et sans aucun doute possible, plus c'est léger, mieux c'est.
Le poids étant principalement dut à la matière choisie pour le revêtement (dans une moindre mesure) et le type de batterie utilisée (l'élément le plus lourd d'une liseuse).
Si j'ai le choix entre grande autonomie, ou un poids allégé, je choisi poids allégé sans hésiter un seul instant, et le soir avant d'éteindre la lumière, je branche le chargeur secteur et hop .
Petits truc pour les liseuses à surface lisse: vous pouvez aisément changer cela : acheter un rouleau de grip et l'utiliser pour changer la surface lisse en surface ... grip :) ou utiliser une de ces housses vendues une petite fortune. (là encore attention, le look importe peu, ce qui compte, c'est la prise en main de la liseuse pendant la lecture, donc housse ouverte)
Pour comparaison scotch grip 7euros, housse 30 euros, et pas forcément pratique pour lire ; rarement, en fait.
Je préconise une housse type pochette, dans la quelle vous glissez la liseuse lorsque vous n'êtes pas en train de lire, et que vous laissez dans votre sac lorsque vous lisez.
[EDIT, récapitulation, et un mot au sujet de la vitesse]
donc pour récapituler:
Lorsque vous lisez un livre en papier, vous passer la majeure partie du temps à lire en tenant le livre dans une main (ou deux), et une fois toute les minutes environ, vous tournez la page.
Donc, dans l'ordre d'importance: la qualité de l'affichage (e-Ink pearl), la tenu en main de la liseuses (poids/forme) la rapidité pour tourner les pages.
à propos de la vitesse
La vitesse à laquelle une liseuse "tourne la page" est dépendante du logiciel, du processeur utilisé, ET on ne le dit pas assez, de la qualité du eBook que vous êtes en train de lire, ces trois critères n'étant pas des constantes, la mesure n'est pas possible sauf si vous changez un seul des trois critères comme par exemple la mise-à-jour du fnacbook v1 vers v2 qui a vu clairement la vitesse augmenter.
A coté de ça il est indéniable que ne pas avoir à attendre 120 secondes lorsque l'on reveille la liseuse de son mode économie d'énergie est agréable, mais pas franchement important, somme toute.
dimanche 14 août 2011
écran E-ink, comment vieillit-il?
pour ceux d'entre vous qui comme moi seraient intrigués par l'écran qui n'est jamais complètement "éteint" c'est à dire blanc.
C'est normal: la technologie Encre Électronique (E-ink) nécessite de l'électricité pour changer la couleur de blanc vers noir (ou niveau de gris) mais pas pour conserver cette couleur.
Si le logiciel est bien conçu, vous pouvez en quelque sorte dire à l'écran d'afficher une couverture de livre (ce qui consomme de l'énergie) mais ensuite couper le courant, et l'image restera là.
Les vieux routards des technologies se souviennent peut être des problèmes de rémanences sur nos vieux écrans cathodiques ou sur les écrans à palsma. Dans le contexte d'un système d'affichage, ce que l'on appelle rémanence est une marque qui resterai ad vitam sur un écran pour l'avoir trop longtemps affichée.
Le meilleur exemple, (flûte ça me rajeuni pas ça!) c'est l'écran du minitel: quelque soit serveur minitel sur lequel vous alliez, la première ligne affichait toujours les même informations, ce qui fait qu'une fois l'écran éteint, cette ligne était presque toujours lisible !.
Qu'en est-il de la rémanence sur un écran E-ink ?
Il n'y en a pas. ce n'est pas possible d'imprimer ad vitam une image sur votre écran. Il suffit en effet de demander au logiciel qui pilote l'écran de "dire à tous les pixels" d'afficher la couleur blanche.
Sur le fnacbook, la touche "rafraichir" sert à cela. Cette fontionalité n'est pas toujours présente sur les liseuses. un bon point pour le soft du fnacbook.
Quelle précautions prendre ?
Par contre un effet d'usure apparaîtra à la longue: plus vous utilisez l'encre, plus elle passe. Ne séchez pas: j'entends par là que le noir bien noir le sera de moins en moins ^_^
Au gré de mes pérégrinations dans les forums de discutions, je suis arrivé à ce constat: deux ans stricte minimum avant de commencer à voir un noir qui tend plutôt vers le gris. Trois ans et l'usure apparaît.
Autrement dit, une liseuse est un consommable, dont la durée de vie est de 3 ans environ.
Il est d'ailleurs dit sur plusieurs forums que l'utilisation d'un écran E-ink en plein soleil accélère ce phénomène. J'imagine que ce doit être à vrai aussi si l'on lit sous une lumière très forte.
Il est recommandé de protéger votre écran de toute lumière si vous n'êtes pas en train de lire.
Aux prix où sont les pochettes, je suis navré d'apprendre cela, mais si cela permet à mon fnacbook de vieillir moins vite, je vais probablement investir.
(au passage, n'hésitez pas à chiner pour une pochette: celles qui sont vendues à coté du fnacbook à la fnac, c'est du vol.)
C'est normal: la technologie Encre Électronique (E-ink) nécessite de l'électricité pour changer la couleur de blanc vers noir (ou niveau de gris) mais pas pour conserver cette couleur.
Si le logiciel est bien conçu, vous pouvez en quelque sorte dire à l'écran d'afficher une couverture de livre (ce qui consomme de l'énergie) mais ensuite couper le courant, et l'image restera là.
Les vieux routards des technologies se souviennent peut être des problèmes de rémanences sur nos vieux écrans cathodiques ou sur les écrans à palsma. Dans le contexte d'un système d'affichage, ce que l'on appelle rémanence est une marque qui resterai ad vitam sur un écran pour l'avoir trop longtemps affichée.
Le meilleur exemple, (flûte ça me rajeuni pas ça!) c'est l'écran du minitel: quelque soit serveur minitel sur lequel vous alliez, la première ligne affichait toujours les même informations, ce qui fait qu'une fois l'écran éteint, cette ligne était presque toujours lisible !.
Qu'en est-il de la rémanence sur un écran E-ink ?
Il n'y en a pas. ce n'est pas possible d'imprimer ad vitam une image sur votre écran. Il suffit en effet de demander au logiciel qui pilote l'écran de "dire à tous les pixels" d'afficher la couleur blanche.
Sur le fnacbook, la touche "rafraichir" sert à cela. Cette fontionalité n'est pas toujours présente sur les liseuses. un bon point pour le soft du fnacbook.
Quelle précautions prendre ?
Par contre un effet d'usure apparaîtra à la longue: plus vous utilisez l'encre, plus elle passe. Ne séchez pas: j'entends par là que le noir bien noir le sera de moins en moins ^_^
Au gré de mes pérégrinations dans les forums de discutions, je suis arrivé à ce constat: deux ans stricte minimum avant de commencer à voir un noir qui tend plutôt vers le gris. Trois ans et l'usure apparaît.
Autrement dit, une liseuse est un consommable, dont la durée de vie est de 3 ans environ.
Il est d'ailleurs dit sur plusieurs forums que l'utilisation d'un écran E-ink en plein soleil accélère ce phénomène. J'imagine que ce doit être à vrai aussi si l'on lit sous une lumière très forte.
Il est recommandé de protéger votre écran de toute lumière si vous n'êtes pas en train de lire.
Aux prix où sont les pochettes, je suis navré d'apprendre cela, mais si cela permet à mon fnacbook de vieillir moins vite, je vais probablement investir.
(au passage, n'hésitez pas à chiner pour une pochette: celles qui sont vendues à coté du fnacbook à la fnac, c'est du vol.)
fnacbook 3G sfr => Surf internet gratuit?
réponse: "oui mais..."
Une fois débridé, le fnacbook est un petit ordinateur avec un processeur à 400MHz, un écran, et un module 3G.
En théorie, il est donc possible de surfer où bon nous semble.. sous réserve d'avoir un abonnement qui le permette; hors l'un des argument de vente du fnacbook est l'accès au fnacstore de façon indépendante, partout où le réseau 3G est couvert.
Alors, qu'en est-il en pratique?
Oui. en pratique, ça fonctionne.
MAIS
Ce n'est guère utilisable, car le clavier tactile ne répond que de manière succincte. Suffisant pour consulter mobile.wikipedia.org mais pas une boite mail.
Notez que je n'ai jamais "activé" le fnacbook. Je ne l'ai jamais connecté à un quelconque site de la fnac, je n'ai jamais accepté la licence d'utilisation de la fnac.
Vu que cette l'utilisation décrite ci-dessus est contraire au contrat que la fnac/sfr croient avoir passé avec moi, je comprend que ceux-ci puissent à tout moment cesser tout service de connexion par 3G.
Donc c'est possible, oui, mais anecdotique.
-------------------------------------------------------------
la bidouille:
une fois que vous avez accès au fnacbook via un terminal, editez le fichier /rwdata/settings/QBookApp.ini vous y trouverez deux lignes qui correspondent aux boutons de l'écran d'accueil només fnacstore et my fnac:
fnac_store=http://www4.fnac.com/fnacbook
Une fois débridé, le fnacbook est un petit ordinateur avec un processeur à 400MHz, un écran, et un module 3G.
En théorie, il est donc possible de surfer où bon nous semble.. sous réserve d'avoir un abonnement qui le permette; hors l'un des argument de vente du fnacbook est l'accès au fnacstore de façon indépendante, partout où le réseau 3G est couvert.
Alors, qu'en est-il en pratique?
Oui. en pratique, ça fonctionne.
MAIS
Ce n'est guère utilisable, car le clavier tactile ne répond que de manière succincte. Suffisant pour consulter mobile.wikipedia.org mais pas une boite mail.
Notez que je n'ai jamais "activé" le fnacbook. Je ne l'ai jamais connecté à un quelconque site de la fnac, je n'ai jamais accepté la licence d'utilisation de la fnac.
Vu que cette l'utilisation décrite ci-dessus est contraire au contrat que la fnac/sfr croient avoir passé avec moi, je comprend que ceux-ci puissent à tout moment cesser tout service de connexion par 3G.
Donc c'est possible, oui, mais anecdotique.
-------------------------------------------------------------
la bidouille:
une fois que vous avez accès au fnacbook via un terminal, editez le fichier /rwdata/settings/QBookApp.ini vous y trouverez deux lignes qui correspondent aux boutons de l'écran d'accueil només fnacstore et my fnac:
fnac_store=http://www4.fnac.com/fnacbook
myfnac=http://www4.fnac.com/fnacbook/myfnac
Il vous suffi de modifier les url pour vous rediriger vers le site de votre choix.
sachez que l'url fnac_store est là où vous irez si vous appuyez sur le bouton physique "store" personnellement c'est pour ça que j'y ai mis wikipedia ^_^
[EDIT]
dans le même fichier, vous trouverez la ligne
browserWithWifi=
dans le même fichier, vous trouverez la ligne
browserWithWifi=
mettez true après le signe égal et ainsi vous activez une ligne qui apparaît dans la deuxième page des réglages du fnacbook: "Browser with WiFi" cela vous permet de lancer le browser avec une connexion wifi et une barre d'adresse pour aller où bon vous semble ! (via une connexion wifi).
samedi 13 août 2011
batterie: Li-Po
C'est une batterie au Li-Polymère. L'inconvénient de cette technologie est « l'effet de mémoire » . C'est-à-dire, que au fur et à mesure que vous utilisez la batterie sa capacité de charge effective diminue. Une bonne manière d'augmenter la durée de vie de cette batterie est de commencer par faire trois cycles de charge sur le secteur (le chargeur fournis est à 1ampère, tandis que les ports usb sont au mieux à 0.5). Lorsque vous ouvrez la boite, la batterie n'est pas complètement chargée. Je vous recommande vivement d'arriver chez vous, de le brancher sur le secteur, et de charger la batterie au maximum. Puis de la décharger complètement (activer le wifi pour aller plus vite). Une charge complète + décharge compète correspond à 1 cycle. Répétez 3 fois.
C'est un peu frustrant de devoir attendre une charge complète avant de pouvoir utiliser la machine, mais cette patience est garante d'une longévité accrue pour la batterie.
(voir mode d'emploi page 9)
(voir mode d'emploi page 9)
First Post
Ce blog a pour objectif de fournir à ses lecteurs les informations nécessaires pour modifier la partie logiciel d'un fnacbook, afin de libérer la puissance du linux sous-jacent.
Le logiciel tel que fourni par la fnac, rempli bien des fonctionnalités, mais bride aussi l'appareil des énormes possibilités qui sont pourtant à sa porté.
Dans ma quête de sortir de ce carcan, je n'ai trouvé que peu de documentation en français et aucune spécifiquement orientée pour le fnacbook.
C'est de ce constat qu'est né mon choix de partager ici les informations glanées afin qu'un autre propriétaire de cette superbe machine puisse profiter de mes pérégrinations.
bah finalement ce sera plutot sur le fnacbook et les liseuses en général. ^_^
en effet si je suis très content de mon fnacbook et l'utilise énormément, il est trop grand pour rentrer dans mes poches, je compte donc m'acheter une autre liseuse prochainement le choix est déja fait, reste plus qu'à trouver les sous.
EDIT 2:
mon fnacbook m'a explosé dans les mains.
bah finalement ce sera plutot sur le fnacbook et les liseuses en général. ^_^
en effet si je suis très content de mon fnacbook et l'utilise énormément, il est trop grand pour rentrer dans mes poches, je compte donc m'acheter une autre liseuse prochainement le choix est déja fait, reste plus qu'à trouver les sous.
EDIT 2:
mon fnacbook m'a explosé dans les mains.
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